1800   27 signataires s'unissent pour acheter l'église en commun, il n'est pas alors question du cimetière et le presbytère resta la propriété du Sieur BOITARD.
1805   Naissance de Pierre SARTRE à COGNAC (24), le 09 novembre. Mort à Cognac, le 27 avril 1878. Père de Eymard SARTRE.
1806   Mais très vite se posa le problème de réparations urgentes. En l'absence de capitaux, les copropriétaires se tournèrent vers la commune. De longues discussions s'engagèrent, le préfet autorisant la commune à racheter l'église à condition que le financement en soit assuré par d'autres revenus. Ce qui intervint en 1806, par l'amodiation (location) des terrains communaux : Le Paquier, La Vésure, La Teppe des Buissons aujourd'hui encore propriété de la commune mais auparavant une partie des habitants avait réagi par une pétition au Préfet, en date du 28 germinal AN 13, faisant valoir que ces champs leurs étaient indispensables pour le pacage de leurs animaux et déclarant : "être ceux qui en ont le moins de tout l'arrondissement et les seuls dont leur Corps Municipal veuille leur en ôter la jouissance".
Le Conseil Municipal, soutenu par le Préfet, eut gain de cause mais les protestataires obtinrent que ne soit louée que la première herbe afin qu'ils en conservent ensuite le pâturage.
L'acquisition de l'église dura de ce fait 5 ans et le solde fut versé le 29 Octobre 1811.
Dans le même temps, se posait le problème d'un lieu de réunion pour le Maire et les Conseillers car, en fait, l'église était redevenue lieu de culte.
1807   Le Maire rappelle qu'il a acheté l'église au nom de la commune.
1808   La prairie, partie située derrière Le Quart-Barraud qui se nomme La Chandelaise, se compose de 280 parcelles.
1809   Sieur AUBERTIN : Maire de Saint Albain.
 
1810   18 février.
Bien que site commercial, la vie pour les habitants de la commune était réglée par la municipalité qui avait pouvoir de taxer bien des produits. Quelques exemples : le Maire taxe le prix du pain à trois sols dix deniers la livre de pain blanc et à deux sols le pain bis. Le 29 juillet de la même année, le même pain est taxé à quatre sols le demi-kilo, ou livre nouvelle. Le Conseil Municipal fixe aussi l'ouverture de la vendange, de la prairie, réglemente les bois communaux, les carrières. Chaque année voie la nomination d'un garde de la prairie, qui fera chaque jour une tournée pour en éloigner les chevaux et bestiaux qui viendraient y pâturer.
1811   En juin, le Maire est invité à organiser une fête à l'occasion du baptême du Roi de Rome. La veille au soir, le son de la cloche annoncera la fête, cette annonce sera répétée le lendemain à 6 H du matin et à 3 H et demi de l'après-midi. Le cortège Municipal précédé d'une partie de la garde nationale se rendra à l'église pour assister au TEDEUM. Le soir, 160 livres de pain seront distribués aux indigents.
 
1813   Les modes se transforment, et VAYSSE nous fait cette déclaration que ne laissaient prévoir ni LOCATELLI, ni JOUVIN : "Saint Albain est un lieu peu considérable. On y remarque le plus joli costume de villageoise qu'il soit possible de voir. J'ai eu l'occasion de l'observer et d'en juger l'effet dans un bal champêtre qui m'en a laissé un agréable souvenir. Je n'oublierai jamais ces petits chapeaux en forme de disque, placés légèrement sur la tête, et penchés avec abandon sur l'une ou l'autre oreille, comme ceux de nos bergères de théâtre. Je n'ai retrouvé ce genre de coiffure pastorale que dans le Valais, où il m'a également charmé ; le reste du costume, quelquefois aussi riche que gracieux, répond à l'élégance de la coiffure : il est circonscrit dans un très petit territoire, dont Saint Albain et le centre."
 
1814   Sieur MOREAU et Sieur BOIRAUX : Maires de Saint Albain.
A cette époque, chaque famille était tenue de fournir trois journées de prestations par an pour la réfection des chemins ou autres travaux. Une délibération du Conseil en ce qui concerne la levée du Port Brouard, du 29 octobre, dit : "vue que cette levée est aussi utile aux habitants de Péronne, Clessé, La Salle, qu'à ceux de Saint Albain, elle devrait être réparée en commun. Vu qu'il s'est fait à cette levée des ornières, que si elles n'étaient pas comblées avant l'hiver, elle serait impraticable. Vu cependant que les boeufs et les vaches ne peuvent être conduits d'une commune à l'autre pour le charroi, les communes sus-citées devront fournir les manoeuvres pour casser la pierre et l'égaliser.
 
1815 Sieur CONSTANTIN : Maire de Saint Albain.
Le relais de Poste de Saint Albain , dirigé par un Maître de Poste breveté, la nomination de celui-ci, en novembre, dit ceci : " Vu le compte rendu en Conseil d'Administration, la fidélité et l'affection du Sieur BOIRAUT, au service du Roi, le nomme Maître de Poste aux chevaux de Saint Albain, situé sur la Route Royale, à la charge pour lui d'avoir le nombre de postillons, de chevaux et équipages prescrits pour le service de ce Relais et de se conformer aux lois et règlements sur le fait des Postes, sous peine de révocation."
Ecole communale. La saison de l'hiver laisse presque seul aux enfants de la campagne le temps de s'instruire. Le Conseil Municipal, après s'être assuré de ses capacités, accepte le Sieur Joseph MAZIER instituteur de la commune. Evidemment, seulement les enfants des riches pouvaient se rendre à cette école puisqu'elle était payante : 1 franc pour les enfants qui ne font que lire, 1 franc cinquante pour ceux qui écrivent, deux francs pour ceux qui lisent, écrivent et reçoivent des leçons d'arithmétique et trois francs pour ceux qui, en plus, reçoivent des leçons de grammaire. Ces prix sont mensuels, il sera ajouté 25 centimes par mois quand la rigueur de la saison exigera que le poêle soit éclairé.
 
1816   Sieur PAIN : Maire de Saint Albain.
1817   le 17 avril : naissance d'Emile GUILLEMIN, Avoué à Mâcon (qui achètera le château de Saint Albain). Père de Georges, Louise, René, Joseph, Pierre-Félix, Henry, Léontine GUILLEMIN.
Le 20 juillet : naissance de Philippe Chrétien (SCHWEITZER à Eckverheim (67). Républicain. Instituteur. Se fit épicier et maire de Phaffenhoffen, en 1841. (Père de Auguste SCHWEITZER, Louis SCHWEITZER (Père d'Albert SCHWEITZER), de Charles SCHWEITZER (Père de Georges, Emile, Anne-Marie), de Louise et Caroline SCHWEITZER. Mort à Phaffenhoffen, le 09 novembre 1900. Il fut le père de Charles et le beau-père de Louise GUILLEMIN.
1821   Sieur PICHET : Maire de Saint Albain.
1825   Au printemps, le Maire est informé qu'un grand nombre de chèvres causent des dommages considérables aux récoltes, et notamment aux clôtures et herbages. Considérant que plusieurs individus sans propriété se permettent d'en avoir jusqu'à quatre, et qu'ils les laissent divaguer par les chemins sous la conduite d'enfants de 5 à 8 ans, arrête ce qui suit : " il ne sera toléré, aux vignerons, manoeuvres et autres, qu'une seule chèvre. Ceux qui excéderont ce nombre seront tenus de s'en défaire sous peine de poursuites."
 
1830   Sieur CONSTANTIN "fils" : Maire de Saint Albain.
Le château de Saint Albain appartient à la famille NEPLE.
1831   La commune compte 733 habitants.
1832   Implantation d'une fabrique de fécule de pommes-de-terre occupant, pendant six mois de l'année, 12 à 15 ouvriers.
1836   Le 17 mars : naissance à Cognac d'Eymard SARTRE (grand-père de J. Paul). Médecin. Mort à Thiviers, le 22 octobre 1913.
1838   Saint Albain compte 776 habitants - 47 maisons - Superficie de 565 hectares dont 142 en terres labourables, 121 en vignes, 119 en prés, 90 en bois. Chef-lieu de perception. Bureau de Poste de Saint Oyen. Relais de la Poste aux chevaux.
1839   Sieur CONSTANTIN : Maire de Saint Albain.
 
1840   Sieur SERMONAT : Maire de Saint Albain.
Un encouragement à l'agriculture est constaté. Lors d'une de ses séances, le Conseil délibère, en ce qui concerne le don d'une charrue fait par la Société d'agriculture de Mâcon au cultivateur le plus distingué par les soins qu'il donne à la culture de ses champs et désigne trois agriculteurs. Cette même année, les finances communales ne sont pas florissantes, un emprunt de 500 Francs est nécessaire pour payer les trois premiers trimestres au cantonnier, garde-champêtre et instituteur.

1842   La nécessité d'établir un nouveau cimetière, les pourparlers pour l'achat du terrain commencent. Une imposition extraordinaire est décidée pour faire face à cette dépense, son installation n'aboutit qu'en 1845, c'est l'emplacement de notre cimetière actuel.

1844   Le 12 juin : naissance de Charles SCHWEITZER, à Phaffenhofen (Bas-Rhin), oncle d'Albert SCHWEITZER, docteur ès lettres, professeur d'Allemand, en 1867, à Mâcon. Il épousera une jeune fille du pays : Louise GUILLEMIN. Mort à PARIS, le 21 mars 1935.
Sieur DUMOULIN : Maire de Saint Albain.
Sieur SERMONAT : Maire de Saint Albain.
1846   Sieur DUMOULIN, Maire de Saint Albain.
1849   Le cimetière primitif autour de l'église est transféré à peu de distance de celle-ci, dans la Montée des Roux.
1850   Le 6 juillet : naissance de Louise GUILLEMIN (future épouse SCHWEITZER).
 
1853   Les fouilles qu'ont nécessitées les travaux du chemin de fer y ont fait découvrir un grand nombre de tombeaux de l'époque gallo-romaine, et dans une partie de sa longueur les vestiges bien conservés de la grande voie d'Agrippa, de Lyon à Boulogne. D'énormes ossements antédiluviens ont en outre été retirés d'une tranchée ouverte au nord du village, dans une épaisse couche de sable fin, entre deux bancs de pierre calcaire.
Il fut créé, à Saint Albain, un syndicat provisoire de propriétaires pour l'endiguement des prairies. Les syndicats de La Salle et Saint Albain demandèrent la fusion. Par arrêté préfectoral, une enquête fut ouverte en date du 21 juillet 1854. Recommandation fut faite d'afficher cette enquête à la porte principale de la mairie et de l'église. La fusion devint définitive par décret impérial, le 06 janvier 1855 Un projet de travaux, pour l'endiguement des prairies de La Salle et Saint Albain fut déposé pour un montant de 14 000 francs.

1854   Mise en service du chemin de fer.

 
1855   Sieur NEPLE : Maire de Saint Albain.
Le Conseil Municipal envisage la construction de vannes sur les fossés de la prairie afin de préserver celle-ci des eaux. Deux ans plus tard, il décide l'agrandissement et la restauration de la sacristie.
L'achat d'une pompe à incendie avec tous les accessoires, étant donné que la commune la plus proche qui en possède une est Pont-de-Vaux et qu'il a été démontré par deux fois, que, quand elle arrivait sur les lieux du sinistre, malgré l'empressement qu'on avait mis à aller la chercher, le progrès des flammes était arrêté par des habitants de la localité et des villages voisins, et, considère que dans le commune de Saint Albain, on peut trouver de l'eau en abondance même dans les plus grandes sécheresses. Le prix d'achat de cette pompe est de 1 000 francs et une prime de 100 francs est accordée par le préfet.
 
1860   Sieur LEPINE : Maire de Saint Albain.
1861   Le Conseil Municipal prend une délibération pour demander le rachat du péage du Port de Fleurville sur la Saône par les départements, les communes intéressées, le gouvernement et la compagnie du Chemin de Fer. Il estime que la construction du Chemin de Fer a beaucoup augmenté le trafic sur ce pont car la haute Bresse et une partie du Jura viennent y aboutir pour se rendre à la gare de Fleurville. Les départements de l'Ain et de la Saône-et-Loire ont des rapports qui s'accroissent principalement avec le petit commerce et l'agriculture mais, ce péage y est tout de même un gros obstacle.
Le 2 août : décès de Sieur Sébastien-Adrien NEPLE propriétaire du château qui le tenait de son père.
1862   Le 15 juin : décès d'Anne-Fanny ROY-LOLINE, femme de Sébastien-Adrien NEPLE.
1864   Sieur PHILIPPE : Maire de Saint Albain.
1865   Dans sa séance d'Août, le Conseil vote une somme de trois cents francs pour la construction d'un puisard, d'un abreuvoir et d'un lavoir pour le hameau de Choiseau qui ne possède pas d'eau potable et qui en est privée pendant trois ou quatre mois chaque année. Cette réalisation ne se fera que deux ans plus tard lorsque Madame CLAVIERE de Choiseau offre de céder gratuitement à la commune son puits et son lavoir afin que celle-ci les convertisse et les aménage en puits et lavoir communaux.
1866   Plusieurs actes de vente règlent la succession de Sébastien-Adrien NEPLE et attribuent la propriété indivise du château aux deux sœurs Victorine-Henriette NEPLE (épouse DESPINAY) et Marie-Chantal-Eugénie NEPLE (épouse NOIROT).
 

1867   Année qui voit accepter le projet de construction d'une balance bascule avec pavillon au bord de la route principale n° 6.

Sieur Pierre PHILIPPE : Maire de Saint Albain.
1868   Sieur DUMOULIN : Maire de Saint Albain.
Le 24 mars : Monsieur Philibert BARDIN prend un bail à loyer pour 20 ans, de 450 Francs, envers Monsieur Victor PROMONET dit "Guichard", pour sa boucherie.
 
1869   Un bâtiment pour installer l'Ecole des filles est acheté par la commune à Monsieur Pierre COURDIOUX pour la somme de 5 000 francs. Ce bâtiment est situé en haut de la commune. La partie Nord non utilisée et vétuste sera revendue, ainsi qu'un petit jardin situé devant, quatre ans plus tard.
1871   Des élections municipales ont lieu, le Conseil est composé de 12 membres dont la moyenne d'âge est de 40 ans. Un projet de tracé pour la rectification du chemin n°4 dit "des Roux" est accepté par le Conseil Municipal. On reparlera de ce projet pendant de longues années, parlant même d'une expropriation de terrain à l'encontre de Monsieur Charles ROUX et Madame Veuve GUILLOT. Puis, tous les propriétaires finissent par accepter les offres de la commune et l'acquisition des terrains peut être faite en 1879.
1874 à 1890   Sieur DUTHION Claude : Maire de Saint Albain.
1875   Naissance, le 28 mars, de Georges SCHWEITZER, à Mâcon. Polytechnicien. Promotion 95. Ancien camarade de Jean-Baptiste SARTRE. Hérite du château, en 1914.
 
1880   Vente, le 2O juin, par Madame Victorine Henriette NEPLE, épouse DESPINAY, du château à Monsieur Emile GUILLEMIN, Avoué à Mâcon, qui habitait au 5 rue de Paris à Mâcon.
C'était une maison de campagne où la famille passait l'été. Lui-même y venait surtout en fin de semaine, en voiture à cheval depuis la rue de Paris. Sa nombreuse famille comprenait de grands chasseurs et de grands pêcheurs et tous ceux qui ont connu cette époque en ont gardé un souvenir heureux.
Emile GUILLEMIN était depuis le début de la troisième République, conseiller municipal de Mâcon. En 1893, il fut maire de Mâcon, à la mort de Monsieur BOULET et jusqu'à la sienne, en 1894.
 

L'école se situait alors sur ou près de l'actuelle place publique. Son mauvais état consigné dans une lettre du préfet obligea l'Assemblée Municipale à d'importantes décisions. L'école n'était susceptible d'aucune réparation d’une part, un terrain acheté (actuellement propriété de Monsieur et Madame SALMON) pour y construire une nouvelle école entraînait une dépense de 20 000 francs (somme insupportable par la commune à cause de ses faibles ressources), d'autre part ; on décida donc une troisième solution : acquérir un bâtiment en vente pour 8 000 francs. Parties d'un ancien relais de diligence comprenant une maison de 20 m sur 10 m, un bâtiment de 47,75 m sur 8,90 m, deux cours de 70 et 789 m¨, un jardin de 1 150 m¨, le tout à 106 m de l'ancienne école, l'ensemble est propriété de Messieurs LAPPE et Fils, meuniers à La Truchère : un rémouleur y a cessé récemment son activité.

1881 Monsieur LARDET Joseph, instituteur, du 01/10/1881 jusqu'au 01/10/1907, date de son départ en retraite.
 
1882   Naissance d'Anne-Marie SCHWEITZER, à Saint Albain, épouse de Jean-Baptiste SARTRE, mère de Jean-Paul, le 22 juillet.
1883   Le curé de Saint Albain qui possédait depuis 1806 la jouissance de la vigne de Saint-Pancras d'une superficie de 77 ares 30 se voit retirer celle-ci pour être louée afin d'augmenter les revenus de la commune. Cette même année, le Conseil décide l'achat d'un terrain au Nord de l'école des garçons afin d'y construire une nouvelle école.
1885   Il est acheté une bande de terrain de 80 m¨ à Monsieur GIROUX de Senozan pour l'élargissement de la rue du Bief. Le ruisseau, de ce fait, se trouve au milieu de la chaussée la rendant dangereuse. Pour permettre de dévier le ruisseau en bordure de la rue, il fallut, en 1886, acheter une parcelle de terrain de 22 m¨ à Monsieur DEBAUME.
 
1888   Le nombre d'habitants de la commune est de 571. Le Conseil Municipal prend une délibération afin d'imposer les chiens à compter du 1er janvier 1889, à savoir : 1ère catégorie, chiens d'agrément ou servant à la chasse : 10 francs, 2ème catégorie, chiens de garde pour les maisons isolées de Saint-Pancras et la montagne, "La Tronché" et des "Bois" : 1 franc 50, 3ème catégorie, tous les autres chiens : 3 francs. Cette délibération n'est pas acceptée par le préfet, la loi n'acceptant que deux catégories de chiens. Dans une nouvelle délibération, le Conseil fixe deux catégories de chiens : chiens d'agrément ou servant à la chasse : 10 francs, tous les autres chiens : 3 francs.
1888   Naissance de Jeanne CHAPUT, à Paris, le 16 décembre (épouse de Georges SCHWEITZER, le 4 juin 1917).
1889   La récolte de vin a donné 50 hectolitres de vin rouge valant 45 francs. L'hectolitre dans les meilleurs, 40 et 35 francs, dans les crus inférieurs. Le vin blanc récolté a été de 346 hectolitres. Les prix sont sensiblement les mêmes que pour le vin rouge.
1890-1891   Dernier recensement : la population compte 521 habitants.
La cloche de l'église s'étant fendue, pour le baptême de Jean-Baptiste PAIN, fils d'André, le Conseil Municipal décide de la remplacer. Elle fut refondue par Monsieur Gédéon MOREL de Lyon. Son poids est de 609 kilos.
1892   La récolte a donné environ 100 hectolitres de vin rouge et 700 hectolitres de vin blanc, vendus en partie au même prix que ci-dessus.
1893   Monsieur BOLLEY, curé de Saint Albain.
1894   Mort d'Emile GUILLEMIN, le 14 décembre. On tenta de vendre le château après sa mort, sans succès. Sa veuve y vécut beaucoup, jusqu'à sa mort en 1914. 
 

Cimetière

Cimetière

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Ecole publique

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Voie ferrée

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